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06/01/2012

Prévention des inondations

Ralentisseurs dynamiques sur l'Odet

Commentaires

c'est dingue ça..... quand les habitants de langolen et des autres communes concernées par la mise en place des ralentisseurs dynamiques se mobilisent, vous dites que des adaptations sont possibles et que d'autres solutions intermédiaires sont envisageables mais quand les habitants de Quimper s'unissent pour demander des adaptations du plan de transport vous n'en avez que faire et vous vous arc-boutez sur des a priori.
Il y aurait donc deux poids deux mesures? dans le premier cas vous ne pouvez rien faire donc vous faites votre "pédagogue" ( terme que vous ressortez a toutes les sauces) et dans le second vous estimez que vous avez le droit de tout faire et donc vous niez les objections et vous passez en force.
Consternant........

Écrit par : thomas | 06/01/2012

enfin, on commence a imaginer des alternatives...bien sûr que les ponts sont déjà des ralentisseurs !

cependant il ne faut pas non plus affirmer que quelques mètres d'eau en plus ne vas pas " du tout " impacter le milieu ... bien sûr, qu'il y aura des modifications, ne serait ce que de la ripisylve, des écotones.

pour moi, l'important est qu'on aille pas engloutir des dizaines de millions alors que cet ouvrage peut être bien moins couteux.

alors M. le bigot, réfléchissez : ne faut il pas tenter de rester sobre et laisser le prestige de côté ?

Si je pose cette question, c'est que de ce coté la, je ne vous accorde ni crédit ni confiance : combien a couté a la société le pin sylvestre planté a la médiathèque ?

Et le programme de 150 000 euros pour une vingtaine d'arbres ?

Désolé mais faire germer une graine, et attendre que l'arbre pousse, c'est quand même plus humble et plus économique.

Écrit par : bb | 07/01/2012

Je possède une maison qui, pour moi, vaut 100000 euros. J’apprend qu’elle sera inondée dans 100 ans. Je la revend à un acheteur qui l’achète 100000 euros. Cet acheteur est indifférent à cette future inondation.

Résultat: Je n’ai rien perdu. Mon acheteur ne perdra rien puisqu’il a acheté la jouissance de cette maison pendant 100 ans seulement. Ses héritiers ne perdront rien non plus puisqu’il savent qu’il ne possèdent cette jouissance que jusqu’à une date limite.

Donc aucun propriétaire d’une maison, qui sera inondée dans 100 ans, ne subira de perte de son capital. Ni les propriétaires successifs de cette maison.

Écrit par : gidmoz | 18/01/2012

Bizarre et incompréhensible la démonstration de gidmoz.
Que cherche-t-il à démontrer?
Qu'un acheteur est indifférent à l'inondation possible de sa maison?
Qu'une maison inondable ne perd pas de valeur?
Comment savoir qu'une maison sera inondée dans 100 ans et pas avant? Gidmoz connait-il la météo des 100 prochaines années?
surréaliste ce commentaire
Vous avez-dû forcer sur le cidre ou le chouchenn mr Gidmoz

Écrit par : breton | 19/01/2012

@breton
Si la maison perd 100% de sa valeur dans 100 ans, on peut poser qu'elle perd 1% de sa valeur initiale chaque année. Si cette maison inondable rend des services bien supérieur à ce 1% de perte de valeur, cette perte de valeur de 1% est indifférente à celui qui l'utilise pour un usage immédiat.

Existe-t-ils des acheteurs qui acceptent de payer le prix de la maison inondable dans 100 ans? la réponse est oui lorsque l'usage immédiat de cette maison a une valeur supérieure à ces 1% de perte de valeur.

Il en résulte que le propriétaire initial de la maison vend sans perte sa maison. Il ira s'installer à 10km de son ancienne maison en un lieu plus élevé.

Revenons à l’acheteur: Lui sait qu'il jouit de cette maison pendant 100 ans seulement. Il, ou plutôt ses successeurs, ne perdront donc aucune jouissance de la maison lorsque l'inondation surviendra dans 100 ans.

Écrit par : gidmoz | 19/01/2012

@ gidmoz
CQFD allez vous me dire
J'avais compris votre raisonnement trop mathématique, trop théorique, mais je n'en vois toujours pas l'intérêt ni le but.
Essayez vous de convaincre ceux qui vont être inondés en amont de Quimper qu'ils ne perdent rien?
Tiendriez-vous le même langage si votre maison se trouvait en zone "inondable" concernée dans le futur par les projets de monsieur Le Bigot? J'en doute.
Il est certain que si ces "barrages" se font, l'hippodrome sera moins souvent inondé, et ceux qui y habitent en auront tout bénéfice, au détriment de ceux en amont.

Écrit par : breton | 19/01/2012

@breton
Mon raisonnement démontre que, si une inondation est prévue à une date certaine est lointaine, aucun propriétaire actuel ni futur n'en subira de perte économique.

Mon raisonnement est théorique. Il suppose que les coûts de transaction sont nuls. Il suppose aussi que chacun dispose d'un droit de propriété lui permettant de vendre ou d'acheter, ou de contracter, sans restriction de l'Etat.

Je ne connais pas le cas sont vous parlez et qui serait lié à un barrage dans telle ville. C'est un problème juridique classique. Celui qui inflige du tord à autrui doit le rembourser. Nul n'a le droit de léser un autre sans son accord préalable et explicite.

C'est le droit français ordinaire. J’espère que l'Etat ne violera pas le Droit élémentaire de chacun sous le prétexte d'un prétendu Ordre Public.

Écrit par : gidmoz | 19/01/2012

@gidmoz
Je crois que nous allons commencer à nous entendre, monsieur Gidmoz.
Vous dites, "celui qui inflige du tort à autrui doit le rembourser, d'après la loi."
Pourtant, en supprimant des centaines de places de parking au centre ville (Providence), monsieur Le Bigot a fait un réel tort au commerce de centre ville, les clients désertant ce centre devenu trop difficile d'accès. Personne n'a eu un centime d'indemnité pour les pertes de chiffre d'affaire, catastrophiques pour certains.
Vous dites également que"nul n'a le droit de léser un autre sans son accord préalable et explicite."
Cette règle a été totalement bafouée par monsieur Le Bigot en ce qui concerne les commerçants de centre ville. Il ne leur a pas demandé leur avis pour supprimer les parkings de leurs clients, et ne leur a demandé aucun accord. Au contraire, il l'a fait contre tous les avis qui avaient émis en ce sens pendant l'enquête publique.
Mon raisonnement quitte le problème des inondations, mais les principes restent les mêmes.

Écrit par : breton | 19/01/2012

@breton
Oui, le principe de droit naturel fondamental est de ne voler personne, de ne nuire à personne. Si on l'a fait sans le vouloir on tente de réparer. L'Etat doit protéger le droit de propriété de chacun. C'est un droit de l'homme.

Malheureusement, l'Etat se moque souvent des citoyens et fait des lois iniques.

Pour les inondations climatiques, le seul principe juridique de mon raisonnement est que ces échanges de propriété ne nuisent à personne. Et le résultat des ces ventes successives et nul ne subit de perte à cause de ces inondations climatiques.

Il est donc inutile que l'Etat nous taxe pour tenter d'éviter des inondations si elles sont si certaines que cela apparaît dans les rapports officiels. Si la date de l'inondation climatique est certaine, alors le coût social de cette inondation sera nul. En effet, aucun propriétaire ne subira de perte. Donc coût social nul.

Écrit par : gidmoz | 19/01/2012

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