31/07/2014
#vidéo cinquième manifestation de soutien à Gaza à Quimper
Quimper 30 juillet 2014 / Cinquième manifestation de soutien à Gaza
200 personnes se sont rassemblées place Terre-au-Duc à Quimper pour une manifestation de soutien au peuple palestinien.
Daniel Le Bigot par ReunigKozh
11:26 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1)
l'Histoire ne peut justifier l'injustifiable.
L'armée Israélienne insensible à l'opinion internationale, continue imperturbablement son invasion du territoire palestinien de la bande de Gaza. Méthodiquement elle bombardent ce petit pays de 40 km de long sur 10 km de large faisant plus de 1400 victimes essentiellement civiles. Des enfants meurent dans des écoles bombardées mais l' état Hébreux drapé dans son costume de victime éternelle taillé dans la toile des martyres des camps de concentration, s'en moque.
Ne soyons pas naïfs, la situation est loin d'être simple, le Hamas soutenu par l'Iran porte lui aussi sa part de responsabilité dans le massacre que subit le peuple Palestinien. La région est devenue le théâtre d'un funeste rapport de force entre les différentes factions des combattants d'Allah et les civils sont honteusement utilisés comme bouclier humain pour des activités terroristes. Il n'empêche l'agresseur, celui qui développe sa politique de colonisation, celui qui pilonne à coup de drones, d'avions, de chars reste bien l’État israélien.
L’Europe, les États Unis complices dans leur silence se contentent d'évoquer timidement le statut démocratique de l’État d’Israël! Comme si l'institution démocratiquement élue était le garant de la morale. Que 60% des Israéliens approuvent et marchent au pas derrière les généraux, n'enlève rien au caractère odieux de cette agression. Aux vues des lois internationales l'occupation des territoires palestiniens est illégale, l'édification d'un mur isolant les Palestiniens et les condamnant à la famine est illégale, malgré cela, fort de son impunité et du silence des Nations, l’État Israélien poursuit sa colonisation.
L'agression militaire israélienne serait justifiée d’après les généraux par des impératifs de sécurité, mais qui aujourd'hui peut encore croire qu'il existe une issue militaire à ce conflit. Tout le monde le sait tant que durera ce conflit la sécurité des uns et des autres sera menacée.
Si l’antisémitisme est une plaie qu'il faut combattre au même titre que toutes les formes de racisme, le statut de victime et la culpabilité née de l'histoire ne peuvent en aucun cas justifier aujourd'hui ni le comportement de l’État d’Israël ni le silence des pays occidentaux
Il appartient à l’État d'Israël et ceci en raison de sa suprématie militaire de proposer une solution pour aller vers la paix dans cette région du monde aujourd'hui si tourmentée. Il ne s'agit pas de nier, comme l'ont fait pendant longtemps les différents pays Arabes l'existence de l’État d'Israël ni de lui contester le droit à la sécurité mais il est inacceptable que ce droit légitime soit une justification pour une colonisation rampante des territoires palestiniens.
10:05 | Lien permanent | Commentaires (1)
21/07/2014
Ludovic Jolivet : l'image d'un maire fébrile
Quand il était membre de l'opposition, Ludovic Jolivet se comportait comme un conseiller d'opposition. C'est à dire qu'il cherchait des "poux" à la majorité et en particulier au Maire. Il jouait son rôle.
Maintenant qu'il est Maire, il semble perdu et cherche systématiquement à se justifier par rapport à cette majorité qu'il a combattue. Par des propos insidieux, il essaie de semer le trouble sur une gestion qu'il a lui-même reconnue comme de qualité. Il prétend de maniére sournoise qu'à l’époque un cadeau aurait été fait au promoteur de la CIRMAD concernant le projet de la caserne des pompiers. Mais alors pourquoi l'a-t-il voté ? Et s'il a des doutes qu'il les exprime clairement et les initiateurs de ce projet, élus ou services, lui répondront sans problème.
Pris dans une escarmouche avec le Président de la maison La Retraite, dans une explication laborieuse, il sous-entend qu'il y avait à l’époque des passe-droits auxquels il aurait mis fin. Là encore qu'il dise publiquement de quels passe-droits il s'agit !
Lors du dernier conseil pris en défaut, sur une question bénigne à propos d'un vœu, il se cabre et soumet l'opposition de manière peu démocratique au silence. II va plus loin et sans doute par excès de fébrilité me traite alors "d'agitateur". Je n'en fais pas une affaire d’État mais ce genre de propos n'est pas la coutume du conseil municipal de Quimper. Cette attitude très impulsive et ce recours fréquent à la gestion antérieure pour justifier sa politique ne me semble pas de bon augure pour la sérénité dont la ville conserve le besoin.
13:47 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (6)