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28/02/2007

inadmissible!

Les Verts du Pays de Quimper apportent leur soutien a l’association « eaux et rivières de Bretagne » ainsi qu’a leur collègue militant Gérard Borvon suite aux saccages et insultes proférés dans la nuit de lundi à mardi par une partie des agriculteurs de la région brestoise.
Nous tenons à rappeler que la situation financière critique dans laquelle se trouve nombre de nos agriculteurs n’est en aucun cas due à l’action des écologistes mais bien au système agricole lui-même qui de concentrations en surexploitations des ressources, a fait passer en moins de trente ans de 2 millions à 600 000 le nombre des exploitants.
Ce n’est pas en cassant le thermomètre que les agriculteurs feront tomber la fièvre. La réalité est là, beaucoup de nos cours d’eau ainsi que les nappes phréatiques de la région sont pollués par les nitrates et souvent par les pesticides. Si les agriculteurs ne sont pas les seuls acteurs de ces pollutions il faut malgré tout qu’ils admettent qu’ils en sont les principaux responsables. Qu’ils soient financièrement étranglés par les investissements, et que de ce fait ils n’obtiennent pas le niveau de rémunérations auquel ils pourraient prétendre au regard de leur temps de travail ne fait aucun doute. Ceci n’enlève en rien à la réalité que le système hyper productiviste que majoritairement ils défendent n’est pas conciliable avec un développement harmonieux, durable et solidaire de notre territoire.

14:49 Publié dans societe | Lien permanent | Commentaires (1)

25/02/2007

merci!

Merci a vous qui m'avez porté les mots qui aident...
La vie continue, ceux qui partent nous laissent un message.
Ils ne s'éteignent et disparaissent que lorsque l'on ne pense plus a eux.
Demain sera un autre jour...
a demain!
Daniel

06/02/2007

maman

Je suis triste, je viens de perdre ma maman. Elle s'est éteinte dans mes bras mardi soir, ravagée par cette maladie insatiable qui vous bouffe l’estomac, le foie et ne vous laisse que la peau et les os ...

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C'était une maman courage. Très jeune au décès de mon père, elle à du alterner le pantalon et la jupe pour faire grandir ses cinq garçons. Chef de tribu elle savait être protectrice à l'extrême sortant les griffes dès que l'on touchait à un de ses garçons. Elle savait aussi ne pas être possessive et nous a poussés mes quatre frères et moi dans la vie sans laisse mais toujours guidés par ses valeurs.
Elle était belle dedans comme dehors, coquette et fière comme une princesse, celle qui n'avait que son certif nous a appris la vie. Elle nous laisse un grand vide.
Comme un petit garçon, sans pudeur, je pleure ma maman.

A bientôt!

06:00 Publié dans societe | Lien permanent | Commentaires (0)